Depuis deux années, je suis employée comme femme de chambre dans un grand hôtel parisien. Avec le personnel d’étage, nous en avons vu de belles. La réputation des clients fortunés qui viennent y séjourner n’est plus à faire : nous sommes là pour les satisfaire dans tous les domaines. C’est d’ailleurs pour cela que le Chef du personnel recrute des jolies filles pas trop farouches.

Hier, je faisais le ménage dans une des suites occupée par un couple d’américains d’une quarantaine d’années. Ils étaient absents pour une grande partie de la journée. Je n’avais donc pas trop à me presser pour nettoyer la salle de bain, et changer les draps du lit. Quand je suis entrée dans la chambre, j’ai vu que le lit était complètement dévasté. Pour gagner du temps, j’ai appelé Agnès, une des autres femmes de chambre de l’étage.

Lorsque nous avons enlevé les draps, nous avons découvert toute une série de gadgets érotiques. Ces deux coquins d’américains avaient dû bien s’amuser au cours de la nuit !

Agnès m’a tendu un des godes, et s’est mise à en sucer un autre en silicone translucide. Je savais que c’était une chaude ! Je n’étais pas étonnée de voir ce qu’elle faisait.

- Viens on va s’amuser un peu !

- Oui, vite fait car il ne faudrait pas être surprises.

Je suis allée verrouiller la porte d’entrée de la suite, et quand je suis revenue dans la chambre Agnès était déjà bien en train. La jupe troussée autour de sa taille, elle avait fait glisser son string et jouait entre ses lèvres intimes avec le gode motorisé.

- Viens près de moi sur le lit.

- Oui, je viens ! J’ôte ma culotte et j’arrive.

J’ai fait glisser mon tanga et je me suis troussée également pour être plus à l’aise en m’allongeant à côté d’Agnès.

- Oh, coquine, tu as rasé ta foufoune ! Laisse-moi voir de plus près.

Agnès se penche sur moi et je sens son souffle chaud sur le mont de Vénus.

- Oui continue ! C’est doux comme caresse !

- Attends, ça va être meilleur encore !

Je sens les lèvres d’Agnès sur mes lèvres intimes, et sa langue qui commence un cunnilingus. Immédiatement ma cyprine se met à ruisseler.

- Oui ! Bouffe-moi la chatte !

- Ne t’inquiète, je vais te faire jouir. Après tu t’occuperas de moi !

- Oh oui, depuis le temps que j’ai envie de toi !

Après quelques minutes, Agnès, qui avait mis en marche le gode motorisé dans sa chatte, a pris le gode en silicone et l’a introduit dans mon vagin. Aussitôt, elle a entrepris les mouvements de va-et-vient qui ont achevé de faire ruisseler mes fluides. J’ai entrouvert mon chemisier pour aller titiller les pointes de mes seins. Je me livrais entièrement à Agnès.

- Oooohhhh continue comme ça ! C’eeest boooon.

J’ai toujours été ouvertement bisexuelle. À peine fraîchement sortie de l’adolescence je couchais aussi bien avec des filles que des garçons. Encore maintenant, à bientôt 30 ans, je me livre au libertinage avec les coquins des deux sexes.

- Dis donc Marie, tu ruisselles littéralement !

- Oui, quand je sens la jouissance monter, je coule comme une fontaine. Je sens que ça vient ! Continue !

Agnès faisait aller et venir le gode dans ma chatte d’une main et de l’autre elle maintenait le gode motorisé dans la sienne sans le faire bouger. Chez elle aussi la jouissance montait. Sa respiration se précipitait.

- Rhaaaaaaaa ! Que c’est bon !

- Ooooh ouiiii, c’est bon. Agnès, merci ! Tu m’as bien eue ! Coquine !

Nous avons joui pratiquement en même temps. Nous nous sommes mises tête-bêche, et nous avons lapé notre cyprine. Malheureusement, nous n’avons pas pu nous éterniser.

- Agnès, je t’invite à la maison le prochain weekend. Si tu es d’accord, on fera une partie à trois avec mon copain. Je suis sûr que cela va l’intéresser.

- Oh oui, je suis d’accord.

Nous avons fini rapidement le ménage, et rangé les jouets sous les oreillers où nous les avions trouvés.

Source: Un de nos  fidèles clients Matou696

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